Valorisation de la littérature par l’invitation d’auteurs en résidence, entretiens, lectures à hautes voix, lectures musicales et ateliers…

Rémi Vignolo étudie la percussion classique au conservatoire, s’intéresse au piano en autodidacte puis à la contrebasse. C’est derrière cet instrument qu’il obtient ses premiers engagements.
En 1992,  lauréat de la bourse Lavoisiers, il est invité à étudier la New-School for Jazz and Contemporary Music à New-York. Au contact des batteurs de la scène New-Yorkaise, il fréquente à nouveau la batterie, sans pour autant délaisser la contrebasse.
On l’a entendu sur scène aux côtés de jazzmen comme Aldo Romano, Stefano Di Battista, Richard Galliano, André Ceccarelli, Bireli Lagrene, Mark Turner, Jacky Terrasson, Steve Grossman, Manu Katché, Jerry Bergonzi… mais aussi tenant la partie basse pour des artistes de la chanson française, notamment, Charles Aznavour et Claude Nougaro.
Parmi la longue liste de ses collaborations, la plus régulière restera celle entamée en 1998 avec Michel Legrand, pour lequel il a été alternativement contrebassiste et batteur. Ces dernières années sont consacrées exclusivement à la batterie, et son univers musical, bien que résolument trempé de jazz, flirte toujours davantage avec les musiques métisses et contemporaines, récemment,  aux côtés de Da Roméo ou de la chanteuse canadienne Kellylee Evans.
Depuis deux ans, Rémi Vignolo parcourt les scènes internationales avec le nouveau trio de la fascinante Youn Sun Nah.

À écouter

  Death of an angry man, Gaya / Socadisc / Idol, 2015