Valorisation de la littérature par l’invitation d’auteurs en résidence, entretiens, lectures à hautes voix, lectures musicales et ateliers…
Valorisation de la littérature par l’invitation d’auteurs en résidence, entretiens, lectures à hautes voix, lectures musicales et ateliers…
Samedi 7 juin de 15h à 19h30
Des récits courts ou nouvelles lues intégralement, portées par la voix de comédiens professionnels :
Gabriel Garcia Marquez, Achille Campanile, Luis Sepulveda,Paul Fournel, Hervé Le Tellier, Nathalie Quintane et Tito Topin… tous réunis par l’art de manier l’humour au bout de la plume.
Toutes les lectures sont en accès libre sur réservation
à la médiathèque Les Carmes
Vera est morte assassinée. Brûlée vive. Mister, le pianiste, l’aimait, comme elle aimait sa musique. Les coupables ont été arrêtés sur le champ, mais Mister ne croit pas à la version officielle. Il décide de mener sa propre enquête. Il veut comprendre : qui l’a tuée ? Pourquoi ? …
Le dernier grand pingouin s’est éteint en 1844, tué par la main de l’homme. Qu’à cela ne tienne, Jean-Luc Porquet s’adresse à lui à travers l’au-delà en nous prenant à témoin et mêlant tour à tour poésie, humour et érudition dans cette dénonciation de l’immense destruction en cours.
Le dernier grand pingouin s’est éteint en 1844, tué par la main de l’homme. Qu’à cela ne tienne, Jean-Luc Porquet s’adresse à lui à travers l’au-delà en nous prenant à témoin et mêlant tour à tour poésie, humour et érudition dans cette dénonciation de l’immense destruction en cours.
Itinéraire d’une âme neuve qui s’éveille à la conscience au gré du hasard et de quelques nécessités, ponctué des petits et grands soubresauts de l’Histoire, le Garçon est à sa façon singulière, radicale, drôle, grave, l’immense roman de l’épreuve du monde.
Comme on les chérit, ces instants suspendus dans nos vies !
Philippe Delerm n’invente pas ces moments, il les réveille en nous. Il leur donne une dimension d’horizon infini. On ne savait pas qu’on abritait tous ces trésors, Delerm les met en écrin, entre humour subtil et nostalgie.
Épopée sanguinaire en Méditerranée, délire religieux au pays de Shakespeare, comédie de village pagnolesque dans une Grèce fantasmée, humour noir et rire jaune, dérision et faux-semblants : Le Peintre et le Pirate c’est Dostoïevski joué par Guignol, Beckett raconté par Voltaire, Stevenson revisité par Kafka.
Ce sont des caisses, elles contiennent des mots, des phrases très fluides et très rapides, avec des débuts d’histoires, des propositions, des descriptions, des observations, des souvenirs, etc., à toute vitesse. Ce qui fait que l’on ne peut rien citer, rien ôter de la caisse pour s’en servir dehors. Et attention, si on y entre on ne sort pas non plus de la caisse, tout se passe dans la caisse !
Ce sont des caisses, elles contiennent des mots, des phrases très fluides et très rapides, avec des débuts d’histoires, des propositions, des descriptions, des observations, des souvenirs, etc., à toute vitesse. Ce qui fait que l’on ne peut rien citer, rien ôter de la caisse pour s’en servir dehors. Et attention, si on y entre on ne sort pas non plus de la caisse, tout se passe dans la caisse !
Julien Allouf
Jean-Marc Fort
Pauline Ribat
Marine-Noëlle Viviani