Valorisation de la littérature par l’invitation d’auteurs en résidence, entretiens, lectures à hautes voix, lectures musicales et ateliers…
Valorisation de la littérature par l’invitation d’auteurs en résidence, entretiens, lectures à hautes voix, lectures musicales et ateliers…
Marie Vingtras est romancière, elle a publié deux romans aux éditions de l’Olivier : Blizzard et Les Âmes féroces. Avec une écriture sensible et efficace, elle compose des histoires en tension habitées par des personnages d’une grande puissance romanesque, entre secrets et mensonges.
Vendredi 25 avril 2025 – 19h
Médiathèque Les Carmes (Pertuis)
Entrée libre sur réservation auprès de la médiathèque
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Marie Vingtras s’entretient avec Élise Deblaise de ses deux romans parus aux éditions de l’Olivier, de la construction de leur architecture ; du huis clos à ciel ouvert de Blizzard, à la petite ville des Âmes féroces, Mercy, effrayante de banalité, et peut-être aussi de la part d’ombre de ses personnages.
Karine Dubois, Raphaël France-Kullmann, Jean-Marc Fort et Marie-Noëlle Viviani
Leo n’est pas rentrée et le printemps s’entête dans sa douceur. Leo ne reviendra pas. La shérif Lauren Hobler découvre son corps au milieu des iris sauvages. Autour de la mort soudaine d’une jeune fille, Les Âmes féroces tissent plusieurs destinées. Pour élucider un mystère, mais lequel ? Celui de Leo, peut-être, et de ses silences. Celui de Lauren, coincée dans une petite ville qui ne la prend pas au sérieux. Il y a aussi Benjamin, Seth et les autres… les gens de Mercy, qui pensent tous se connaître et en savent si peu sur eux-mêmes.
Cette rencontre est organisée en partenariat avec l’association Libraires du Sud
(…) l’autrice a une écriture qui fait jubiler, le don du contraste et de la surprise quand, soudain, on sent, comme les personnages du roman, le sol se dérober sous nos pieds. Nous sommes émus, Marie Vingtras a gagné.
Christine Ferniot, Libération
Les Âmes féroces, (l’olivier, 2024)
On ne se complique pas la vie dans une si petite ville, à peine plus grande qu’une maison de poupée, peuplée de minuscules figurines immobiles, les bras rivés le long du corps.